Le contexte

Il existe aujourd’hui, particulièrement Île-de-France, un réel besoin de coordination, de communication et d’articulation entre les structures de soins et de prise en charge des TCA afin d’en améliorer la prise en charge et de limiter le nomadisme médical.
Les réseaux de soins reposent sur du volontariat. Sont concernés des psychiatres, pédopsychiatres, pédiatres, médecins généralistes, psychologues, nutritionnistes, urgentistes, réanimateurs, diététiciennes, enseignants, assistantes sociales, associations de patients etc., libéraux ou hospitaliers.

Des structures sont bien identifiées pour leur activité orientée vers ces problèmes de comportement alimentaire (Hôpital saint Anne, Maison de Solenn, Institut Montsouris, MGEN, Unité de Nutrition clinique de Garches tec…). Ce qui l’est moins, ce sont toutes les ressources existantes dispersées sur l’Île-de-France.

La capacité d’accueil des établissements cités et l’éloignement géographique sont des raisons suffisantes pour mieux faire connaître les autres nombreuses possibilités de la région, que ce soit pour une prise en charge initiale, un relais ou encore répondre à des besoins complémentaires.
Ce besoin de les faire connaître s’adresse autant aux familles qu’aux professionnels de santé. Un des objectifs du réseau est d’optimiser les relations entre les différents acteurs de santé.